"Courir ne serait-ce pas tout simplement tuer le temps, surtout qu’il suffirait de partir à temps pour éviter de courir. Vous me direz qu’il faut bien courir après quelque chose, pour éviter, peut-être, de se fatiguer d’ennui "
Dom Cado
Hypo ou Hyper ?
L’hypoglycémie correspond à une glycémie trop basse et elle peut être corrigée dès les premiers symptômes en se "resucrant". C’est le cerveau qui informe que le taux de sucre est trop bas et les signes avant-coureurs du manque de sucre sont suffisamment symptomatiques pour en tenir compte, avant de tomber dans les bras de Morphée sans l’avoir souhaité.
Sueurs, pâleur, sensation de faim anormale, nausées, fourmillements ou picotements autour de la bouche ….. , sans oublier des vertiges, la sensation de faiblesse, la perte d’équilibre et l’accélération du rythme cardiaque.
Si en course il vous arrive de ressentir une partie ou toutes ces sensations il va être grand temps de trouver quelques pierres de sucre pour remonter le taux de glycémie. Et personne n’est à l’abri lors d’un effort prolongé de cette fringale.
A l’inverse l’hyperglycémie est d’avoir une glycémie trop élevée, c’est-à-dire un taux de sucre dans le sang trop important. Cela se manifeste, en course, par une augmentation du besoin d’uriner et de la quantité d’urine émise, ce qui entraîne une perte d’eau. Si cette perte d’eau est importante et pas compensée par une hydratation suffisante, l’organisme va en manquer, avec les conséquences que l’on connait.
Boire beaucoup est nécessaire, de l’eau, bien évidemment non sucrée (En rappel : éviter de boire sucré en attendant le départ de la course).
"Après ! Ce n’est que mon avis"