N’est-t-on pas mieux servi que part soi-même ? J’en suis persuadé. Cependant oublier ceux qui vont participé à la réussite du livre, indispensable à tous les amoureux de la course à pied, serait une omission impardonnable de la part d’hommes de partage comme nous pouvons...
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mardi 03 décembre 2024

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Le mal de dos

"Quand deux hommes sont dos à dos,

40 000 kilomètres les séparent d’un face à face ….. "

Alex Le Gall

 

 

Mal de dos et course à pied font-ils bon ménage ?

 

En me basant sur mon expérience personnelle, je réponds oui à cette question. Pourtant l’idée la plus répandue, est que course à pied et le mal de dos ne font pas un bon couple et un divorce rapide entre les deux est l’image retenue, alors que l’une peut aider à réparer l’autre.

 

Après des années de crise de sciatique et de lumbagos, la course à pied, pour des raisons indépendantes de ma volonté fait maintenant partie de ma vie (voir : http://www.lalignebleue.net/fr/information/44328/qui-suis-je ) et a laissé sur le bord des chemins, réveils courbés et sorties de canapés voutées.

 

Il est vrai que le running, en raison de la répétition des impacts sur le sol, impose des contraintes à la colonne vertébrale surtout au niveau lombaires pouvant provoquer des traumatismes. L’exagération des foulées comme un hémérodrome de la période Gréco-Romaine qui ont laissé une nombreuse descendance aujourd’hui, peut au bout d’un certain temps générer de sévères dégâts. L’abus devenant fatalement nuisible.

 

Pourtant une course à pied bien gérer, favorise l’hydratation des disques invertébraux, améliorant leur capacité amortissante, renforce les longs dorsaux et évite à la colonne vertébrale de tout supporter en lui permettant de respecter sa verticalité.

 

Pourtant aider notre dos à nous supporter est pourtant simple, quelques idées de bon sens, comme d’utiliser les chaussures adaptées à la morphologie, comme de privilégier un sol souple en récupération d’une compétition (pelouse d’un stade par exemple).

Eviter les devers et les sols irréguliers, glissants, caillouteux ou instables va aussi bannir quelques problèmes et quand l’âge a pris le pas sur les performances il ne sert pas à grand-chose de vouloir modifier sa foulée, courir naturellement est le gage de garder un dos de bonne humeur.

 

Bien évidemment ces quelques conseils, sont liés au jour le jour à une bonne hydratation, une alimentation saine, quelques exercices de gainages et d’étirements pour que la course à pied retarde l’ostéoporose responsable, à un âge où on ne compte plus les années, des lombalgies chroniques et des fractures/tassements des vertèbres.

 

"Après ! C’est surtout l’avis de Doctissimo "